Conférence: « Le Panorama – un nouveau genre de divertissement à la fin du XIXe siècle »

Anartiste Lavigney, France

Le Panorama – un nouveau genre de divertissement à la fin du XIXe siècle. À une époque où l’image est devenue omniprésente, où, grâce au cinématographe, elle s’est animée et est devenue un spectacle toujours prisé plus d’un siècle après sa création, où, surtout par la télévision et l’internet, l’image fait désormais partie de notre vie quotidienne, il est difficile d’imaginer combien, dans le passé, celle-ci a fasciné les foules. Parmi les nombreuses inventions destinées à faire de l’image un spectacle, il y avait au XIXe siècle les panoramas. Un panorama, du grec pan (tout) et ôrama (vue), c'est-à-dire « vue en totalité », était un « tableau sans bornes » qui avait pour but de donner l’apparence d’un spectacle naturel. Le Larousse du XIXe siècle, le définit comme « un vaste tableau circulaire placé autour d’une rotonde, de manière à ce que le spectateur voit les objets représentés comme si, placé sur une hauteur, il découvrait tout l’horizon environnant ». Véritable espace virtuel et un théâtre de l’illusion. Au XIXe siècle les panoramas enchantaient les foules avides d’images et de spectacles visuels.

Conférence gesticulée: « Des racines et des êtres »

Anartiste Lavigney, France

Des racines et des êtres Ou comment j'ai changé de regard sur le Vivant Le lien entre l’humain et son environnement vue comme l’une des clés face à l’urgence climatique. Ça commence perché dans un arbre à faire des cabanes et finalement, on peut se poser la question : est-ce que Benjamin est vraiment descendu de cet arbre? Scruter l’horizon tout en ayant les pieds bien ancrés dans la terre, c’est le point commun entre les arbres et Ben. Comment les plantes, les conceptions des peuples premiers et un lien sensible avec le vivant peuvent nous aider à changer notre regard sur le monde et sur notre relation à l’environnement. Benjamin nous fera vivre une expérience unique et nous emmènera avec lui dans une envolée ébouriffante et parfois désopilante! Je ne parlerai ni de changement climatique, ni de bétonisation, c’est juste suggéré dans un constat lors de l’introduction. Mon envie est d’amener le public à regarder son environnement naturel de façon différente, à semer des graines pour un autre rapport au vivant. Car ce récit vivant parle du vivant. J’emmène le public au sein de mon expérience de plus de 10 ans au Jardin botanique de l’université de franche comté, des questionnements scientifiques autour de l’intelligence des plantes, de mes expériences chamaniques… En passant par NDDL, un cirque humanitaire et l’anthropologie; avec en fond mon engagement politique, au sens noble du terme… Lire plus...